À la suite d’une formation en webmarketing / SEO / SEA, Eline s'est lancée en tant que freelance. Elle accompagne les entreprises dans le développement de leur stratégie digitale afin d’améliorer leur visibilité. Découvrez le témoignage d’Eline, sa reconversion en freelance et tous ses conseils…
Je m’appelle Eline Ringenbach, je suis consultante SEO, SEA et webmarketing. Mon travail consiste à aider les entreprises à développer leur stratégie digitale, que ce soit sur leur site, leurs réseaux sociaux ou encore directement sur internet.
J’ai commencé ma carrière professionnelle dans l’administratif, notamment en milieu associatif auprès de personnes handicapées. J’ai ensuite bifurqué vers le métier de rédactrice web, pour ensuite me former au webmarketing et au SEO afin de devenir consultante.
Car peu d’offres existaient sur le marché lorsque je me suis formée à la rédaction web. Je ne voulais plus perdre de temps à postuler à des offres et, en même temps, j’avais le syndrôme de l’imposteur : je n’étais pas consciente de mes capacités. J’avais peur de postuler auprès d’employeurs, je ne me sentais pas légitime. J’avais également besoin d’indépendance, d’autonomie et de travailler sur des projets qui me plaisaient réellement.
Pas une seconde, j’ai foncé tête baissée !
Selon moi, les avantages d’être freelance sont le fait :
#1 d’être libre dans ses horaires
#2 de pouvoir travailler d’où l’on veut, avec qui l’on veut
#3 d’être correctement rémunérée pour le travail fourni
Les inconvénients sont liés à l’instabilité financière (c'est-à-dire le stress de ne pas savoir combien on touchera le mois prochain, les difficultés pour obtenir un crédit immobilier, etc.) et le manque d’interactions sociales (comme le travail en équipe). À distance, c’est relativement compliqué et rare de collaborer avec toute une équipe sur des projets digitaux, notamment lorsque les entreprises sont petites et que vous êtes la seule personne en charge du marketing digital.
Se remettre sans cesse en question et vouloir toujours faire mieux. Il faut chercher à se perfectionner et se former constamment.
J’y reviens justement ! Je reprends une activité salariée dans quelques jours, notamment à cause des inconvénients du freelancing cités plus haut. Mais cela ne m’empêchera pas de continuer à travailler en freelance sur d’autres projets à côté, les soirs et week-ends. J’aime les avantages du freelancing, je ne dis pas que ce n’est pas fait pour moi, seulement : pas à plein temps. Avoir une carrière hybride, avec du freelancing à temps partiel, ça peut être tout aussi cool.
Aucune idée ! Là où la vie me mènera !
Je proposerais de meilleurs accompagnements pour les freelances (afin qu’ils se sentent moins seul(e)s et mieux accompagné(e)s), avec de nouvelles conditions de travail (encadrement avec des contrats clairs, etc.) et moins de charges. Je faciliterais également les conditions d’accès aux crédits (immobiliers, etc…), pour qu’elles soient similaires aux personnes en CDI.
La mission en elle-même, l’encadrement de l’équipe mais également le fait de ne pas avoir eu de commission ou de frais prélevés sur ma mission. Les plateformes de mise en relation entre freelances et entreprises prélèvent généralement un bon pourcentage de ce que l’on touche. Cela n’a pas été le cas avec Kamatz, et ça, c’est top !
L’accompagnement de l’équipe de Kamatz était top. J’ai beaucoup apprécié la disponibilité et l’enthousiasme de chacune des personnes avec qui j’ai pu collaborer.
N’acceptez pas de mission hors plateforme : vous ne savez jamais sur qui vous pourriez tomber et si vous allez être réellement payé(e), ça évite des poursuites judiciaires !
Essayez de mettre en place des contrats de prestation pérennes pour être sûr(e) de toucher le même salaire chaque mois.
Ne lâchez rien ! Il y a des hauts et des bas en freelance, il faut pouvoir passer au-dessus de cela.